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Amanda – Chapitre 4 : «Exhibée»Cette histoire est écrite à la première personne, car elle part d’une base interactive écrite conjointement par Sissy Amanda et Sam Pandore”- Hé bien hé bien !… Ces sous sols sont vraiment mal fréquenté tu ne trouves pas ?”Demanda une voix féminine sur un ton moqueur, tandis que j’essayais en vain de percevoir une ombre dans la lumière des phares, celle d’un flash éclairant un peu plus l’éclipse de mon masque occultant.”- En effet, mais ça fait des beaux clichés !”Répondit une autre voix féminine, tandis que mon angoisse s’accroissait en entendant les talons s’approcher un peu plus de moi, tandis que le flash crépitait de nouveau.”- Amuses toi alors !…Ce n’est pas tous les jours que nous avons ce genre de modèle !”Renchérit la voix moqueuse, que je sentais être plus prés de moi à présent, tandis qu’un nouveau flash illuminait le raie de lumière sous mon masque, me tétanisant dans une panique totale.”- Ça y est ! j’ai tout ce qu’il me faut !… En plus sur celle-ci on reconnaît bien son visage malgré sa perruque et son masque.”Annonça la voix féminine que je supposais de la personne qui prenait les photos, et dont j’entendais les pas s’approcher de moi, tandis que je sentais une main effleurer l’un de mes bas au niveau des cuisses.”- Parfait !….Je suis certaine que sa femme serait heureuse de voir ces clichés !”Dit la voix moqueuse, qui se chargeait à présent d’une certaine ironie perverse, tandis que la main remontait vers les frous-frous de ma robe de satin, qui je le savais ne cachait rien de mon explicite culotte masquant ma ceinture de chasteté.”- Tu as raison, comme cela elle ouvrira les yeux sur la vraie nature de sa Sissy de mari !”Dit la voix de la photographe, maintenant aussi proche que la voix ironique aux mains baladeuses, et dont les propos me faisaient paniquer plus en plus, ne sachant ce qui allait advenir de moi, être abandonnée ou libérée, m’obligeant à ne pas penser à pire, tandis que la main poussait sur ma ceinture à l’emplacement précis de mon plug, me faisant gémir en silence.”- Mais qu’est ce qu’on fait d’elle maintenant… On la laisse ici ? “Demanda la voix prêt de moi, tandis que ses mains avaient empoigné ma taille corsetée, et me resserraient au maximum le corset de ma robe de satin en me murmurant un «C’est mieux comme ça !».Malgré le fait que je ne n’étais pas bâillonnée, aucun son ne pouvait sortir de ma bouche, entre l’asphyxie causée par l’intense et brutal serrage de mon corset et le fait que j’étais complètement tétanisée, piégée par l’emprise de ses deux Maîtresses, dont les mains de l’une d’elle me faisaient à présent tourner sur moi-même.”- Ho oui !…Ça serait amusant de voir le visage des gens qui la découvrirait dans cette situation !…Je pourrais faire d’autres photos géniales !”S’exclama la voix de la photographe, dont la main se mettait également à me caresser, tandis que j’essayais de m’y soustraire, en vain, une des mains avait lâché ma taille pour se saisir de l’anneau de mon collier de métal, auquel elle attachait quelque chose.”-Tu as raison !…Mais qu’est ce qu’on fait pour la clé de sa ceinture ?”Demanda la voix qui tirait à présent sur mon collier, tandis que ma panique montait encore d’un cran.”- J’aimerai bien la jeter dans les égouts, avec celles de ses chaînes !…Et ensuite on appelle la police pour voir comment ils réagiront lorsqu’ils la découvriront !….Attachée à la grille !!”Se mit à rire la voix de la photographe, tandis que la main tirant mon collier me forçait à avancer sur mes vertigineux talons, sûrement vers la grille du parking.”- Non, s’il vous plaît, Maîtresses !…Ne me laissez pas comme ça !”Implorais-je, en essayant en vain bahis firmaları de me débattre dans mes entraves, tandis que la traction sur mon collier continuait de me forcer d’avancer vers je ne sais où, au son du cliquetis de mes chaînes et de mes hauts talons qui résonnaient dans le sous-sol”- Hummmm, j’aime bien ton idée Juliette !…. Et toi, petite Sissy, tu en penses ?”Me demanda Maîtresse Mathilde, qui me semblait fixé ce qui était attachée à mon collier sûrement à la grille, avant que ses mains ne m’empoignent les épaules.”- Non, s’il vous plaît, Maîtresses !…Pitié !…Ne m’abandonnez pas dans cette tenue !”Suppliais-je de nouveau, en pleurnichant presque, tandis que les mains de Maîtresse Mathilde me plaquait contre la grille du parking.”- Ha bon, petite Sissy !…Et pourquoi pas !… Tu es dans ton élément, non?… Tu disais bien sur ton profil que tu voulais être une Sissy Soumise et Exhibée !….Eh bien, réjouis toi tu vas trouver un très large publique !….Attache la Juliette !”Répondit Maîtresse Mathilde en riant, tout en me maintenant dos à la grille, tandis que je sentais mes poignets déjà entravés dans mon dos être saisis par les mains de Maîtresse Juliette.”- Tu devrais en profiter d’ailleurs !… Parce ça va être moins drôle, quand les flics te foutront au trou pour atteinte à la pudeur !…Et dans cette tenue, tu vas faire sensation auprès de tes codétenus !”Ironisa Maîtresse Juliette, tout en me cadenassant mes poignets à la grille, prête à m’abandonner ici.”- Nooooon, s’il vous plaît, Maîtresses !…Pitié !….Ne me laissez pas ici !…Je ferais tout ce que vous voudrez , Maîtresses !”Suppliais-je de nouveau mes deux Maîtresses, dans un espoir de compassion de leur part par mes derniers mots prononcés.”- Bien !…Vraiment !…Ce qu’on veut !… Voila qui est judicieux, petite Sissy !….Mais j’aimerai déjà vérifier quelque chose !….Serre les fesses, car je ne t’enlèves pas tout !”M’ordonna Maîtresse Mathilde, en relâchant son étreinte qui me plaquait contre la grille, avant de me retirer ma ceinture de chasteté, après avoir découper ma culotte de « Sissy in Training », me libérant ainsi mon clito de Sissy, totalement mou et flasque, vu mon extrême panique.”- Merci Maîtresse !”Soupirais-je, comme un soulagement d’avoir mon pauvre zizi enfin libre, et de ne plus entendre parler d’être abandonnée dans ce parking, tandis que mes poignets étaient également libérés par Maîtresse Juliette.”- Fais un gros plan sur son inutile clito!…Histoire de bien montrer ce qu’elle est vraiment !….Une Sissy Faggot !”Dit Maîtresse Mathilde, en saisissant à pleine main mon clito mollasson et mes petites choses fraîchement libérées , pour les caresser de ses ongles sous le flash de l’appareil qui m’humiliait de nouveau, tandis que je n’osais plus ni bouger ni parler.”- Tu ne devrais pas dire lui merci si vite, petite Amanda !…Et Tu es dans un sacré pétrin là !… Tu le comprends ça !”Me demanda Maîtresse Juliette, sur un ton ironique, tout en me mitraillant avec son appareil, tandis que Maîtresse Mathilde me faisait de nouveau tourner sur moi-même, je me sentais toujours reliée à la grille par mon collier, mais cela découvrait cette fois à l’objectif mes fesses nues garnies de mon plug de métal, dont les frous-frous satinés de ma robe de Sissy ne cachaient rien.”- Oui Maîtresse !”Répondis-je en baissant la tête, tandis que les pas des talons de Maîtresse Mathilde s’éloignaient pour aller vers les phares.”- Bien !… On pourrait te laisser là !…Et appeler la police !…Envoyer tous tes clichés et les miens à tous tes contacts !…Et on te laisserais retourner à ta vie de minable !….Il faudrait juste te trouver un nouveau kaçak iddaa boulot et une nouvelle femme !… Ou alors !…”M’annonça Maîtresse Juliette, sur un ton ironique et moqueur, tandis que mon esprit essayait en vain de réfléchir sur comment me sortir de cette situation ubuesque dans laquelle je mettais mise.”- Ou alors , Maîtresse ?”Demandais-je, en ayant entendu l’amorce de ce qui se passerait suivant ma réponse à ses deux Maîtresses perverses, tandis que je pensais à ma femme a qui j’avais dit que je partais pour une réunion surprise à dans des bureaux de Nice.”- Ou alors tu signes une décharge que nous avons préparé pour toi !… Une attestation de consentement et après tu montes avec nous en voiture !… Mais il n’y aura jamais de retour en arrière possible !”M’annonça Maîtresse Mathilde d’une voix devenue autoritaire, tout en revenant vers moi en faisant claquer ses hauts talons sur le bitume du parking.”- Mais c’est toi qui voit ! Nous, on s’est déjà bien amusé !…Mais nous préférerions te garder plutôt que rigoler de te voir expliquer ta situation aux flics !”Ajouta Maîtresse Juliette, tandis qu’elle continuait de me mitrailler de flash, cette fois plus prés de moi.”- Que décides tu, petite Sissy ? Tic tac, Tic Tac !…”Dit Maîtresse Mathilde, de son ton autoritaire me pressant à répondre, tandis que je sentais son parfum de nouveau prés de moi.”- Est ce que je peux lire le papier avant de le signer, Maîtresses ?”Osais-je demander aux deux Maîtresses perverses, qui avaient bien préparé leur plan, tout en me mettant à essayer de tirer sur ce qui me retenait à la grille.”- C’est ton droit !….Mais n’oublies pas ce qui en résoudra si tu refuses, petite Sissy !”M’annonça Maîtresse Mathilde, tout en me retirant mon masque, me laissant être éblouie par la lumière des phares, m’apercevant comme je m’en doutais que j’etais attachée à la grille par une longue laisse de cuir rose.Je reconnu Maîtresse Mathilde, ses cheveux blonds tirés en haute queue de cheval, ses yeux marrons me transperçant avec autorité, perchée sur les hauts talons classiques de ses cuissardes, elle était aussi grande que moi sur mes hautes plates formes, son manteau de cuir s’ouvrant sur un jean moulant et un simple tee-shirt gonflé par ses seins, la clé de ma ceinture étant revenue autour de son cou à la peau claire.Maîtresse Juliette était plus petite, même sur ses hauts talons d’au moins douze centimètres, elle m’arrivait au menton, métisse, ses longs cheveux noirs superbement lissés tombaient sur ses épaules couverte d’un chemisier blanc quasi transparent dans les phares, il était glissé dans un pantalon de cuir moulant et ouvert sur ses petits seins au creux desquels pendait une chaînette et la clé de mes entraves, ses yeux noirs étaient aussi moqueurs le son grand sourire qui éclairait son visage, sa main aux ongles parfaitement manucurée me tendit l’attestation de consentement, que je commençais de la lire sous le regard sévère des Deux Maîtresses.Nice, le 29 Novembre 2019Moi, Sissy Amanda, je m’engage par ce courrier à ne jamais déposer plainte contre Maîtresse Mathilde et de Maîtresse Juliette.Moi, Sissy Amanda, je m’engage par ce courrier d’accepter TOUT ce que Maîtresse Mathilde et de Maîtresse Juliette me feront subir.Moi, Sissy Amanda, je m’engage par ce courrier à la décharge de Maîtresse Mathilde et de Maîtresse Juliette , d’assumer l’entière responsabilité de ce qui va suivre en jurant être TOTALEMENT consentante.Moi, Sissy Amanda, je m’engage par ce courrier de devenir la PROPRIETE de Maîtresse Mathilde et de Maîtresse Juliette, devenant ainsi leur Sissy Slut Soumise, Chienne Soumise , ou tout autre descriptif et statu dont elles pourraient kaçak bahis vouloir m’affubler.Mr Philippe CavalièrealiasSissy Amanda” – On te laisse une minute !…. Nous avons de la route !…Après on part et on te laisse là !…Tic tac, Tic Tac !…”Me dit sèchement Maîtresse Mathilde, toujours autoritaire, tout en me tendant un stylo avant de regarder sa montre au bracelet incrusté de diamants.Je me senti complètement piégée, mais aussi très excitée, et présenta mes mains menottées dans mon dos où le Maîtresse Mathilde dépose le stylo, et signa tant bien que mal le papier qu’elle me tenait, en espérant être ainsi libérée bientôt, tandis que Maîtresse Juliette me filmait à présent.”- J’y crois pas elle l’a fait !… J’ai bien fait d’immortaliser ça!….Montre moi !”S’exclama Maîtresse Juliette, en me reprenant le papier des mains de Maîtresse Mathilde, le filmant avant de le prendre en photo, tandis que rouge de honte, mes yeux embués se baissaient vers mes pieds gainées de nylon pour ne pas croiser leurs regards moqueurs.”- Évidemment qu’elle l’a fait !…Regardes son clito, elle en mourrait d’envie, notre petite Chienne Soumise !Elle va être parfaite dans ce rôle !…Mais pour j’ai quelque chose pour toi pour commencer, petite Sissy !…Et je ne veux pas t’entendre, sinon !”M’ordonna Maîtresse Mathilde, le regard moqueur en plongeant sa main aux longs ongles manucurés dans la poche de son manteau de cuir, tandis que j’essayais de rester calme en me demandant ce que ces deux perverses Maîtresses avaient bien pu encore inventer pour moi, quand son autre main s’empara de mon clito qui se dressait à présent d’excitation.Et c’est sous la surveillance et le regard de l’appareil photo de Maîtresse Juliette qui me filmait de nouveau, après avoir ramasser ma culotte de Sissy en lambeaux sur le sol, que Maîtresse Mathilde glissa une tige d’urètre dans mon pauvre clito, sans aucune compassion pour mes gémissements « silencieux » causés par la douleur qu’elle lui faisait subir, refermant ensuite autour la minuscule cage de chasteté de métal qui y était associée, passant ensuite autour de son cou la chaînette de sa clé en collier d’ornement.”- Celle là, tu vas pouvoir la garder longtemps, petite Sissy !…Juliette, tu as ce qu’il faut pour son transport ?”Demanda Maîtresse Mathilde en souriant à sa complice, qui lui répondit par un simple hochement de tête affirmatif accompagné d’un sourire pervers en retour, tandis qu’elle avait réduit ma culotte de Sissy en une simple boule de satin rose et qu’elle détachait ma laisse de la grille derrière moi.Intérieurement, je hurlais de frustration tellement mon pauvre clito de nouveau enfermé était douloureux dans cette nouvelle et minuscule cage, et c’est en ouvrant la bouche pour demander grâce et quand mes deux Maîtresses comptaient me libérer, que la main de Maîtresse Juliette y glissa de force la boule de satin rose, qu’immédiatement Maîtresse Mathilde enfonça un peu plus avec un large gag-ball rose, me le sanglant avant que je ne puisse réagir et me débattre, sous le regard noir de Maîtresse Juliette, amusé par mon regard affolé et paniqué qui croisa le sien, le couvrant ensuite de mon masque occultant.Malgré mes « silencieuses » contestations muselées, ce fut sans un mot , ni réel ménagement, que l’une de mes deux Maîtresses me traîna en laisse dans ma pénombre vers les phares, avant de me coucher sur le tissu de la banquette arrière de leur luxueuse berline anglaise, me repliant ensuite mes jambes au maximum pour me cadenasser ensemble mes chevilles et mes poignets, me privant ainsi de presque tout mouvement, surtout quand je sentis que ce je croyais être le tissu de la banquette, n’était en fait qu’un grand sac de toile, où mes Maîtresses m’enfermèrent malgré mes inutiles suppliques.D’angoisse ou de fatigue, je ne le sais, mais des larmes embuèrent mes yeux sous mon masque, quand la voiture démarra pour s’éloigner de Nice.
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