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confessionsJ’ai commencé ces confessions sur mon bureau au travail, il y a très longtemps. je suis maintenant à la retraite depuis quelques années, et j’ai recherché dans mes archives ce texte qui a malheureusement disparu . Je recommence donc. A l’époque, je me rappelle que je portais, sous mon pantalon de cadre dynamique, un superbe porte-jarretelles bleu roi assorti à mon string, et des bas noirs.Je suis un travesti occasionnel. L’idée que mes collègues, tant masculins que féminins, me côtoyaient en ignorant mon petit secret était excitante.Cela a commencé lorsque j’étais pré-adolescent, je ne saurais dire pourquoi. comme beaucoup de garçons, je suppose, je m’intéressais à ce que portaient les filles et les femmes sous leurs jupes. Alors un jour pour voir ce que cela faisait, je me suis lancé, vers mes quatorze ans. Dans la maisonnette de banlieue parisienne où nous habitions, mes parents et moi, il y avait sous l’ escalier qui menait aux chambres un cagibi dans lequel se trouvait le panier à linge sale. Alors que j’étais seul, un jeudi, pendant que ma mère était au travail, je fouillai dans le panier. J’y trouvai des bas, une gaine ouverte, un soutien gorge de satin, une culotte. L’époque de la tyrannie du collant n’était pas encore arrivée. Ma mère n’était pas du genre à porter des sous-vêtements affriolants, sa lingerie était plus confortables que sexy. Elle avait trente ans de plus que moi, j’avais sa stature, et ses vêtements n’allaient. J’enfilai la culotte et me mis en demeure de mettre le soutif. Bien sur, bahis firmaları je n’arrivai pas à le fermer dans mon dos. La solution vint d’elle-même. je retirai le soutien-gorge, positionnai l’agrafage devant ma poitrine, l’agrafai. puis je fis tourner le soutien-gorge autour de mon buste et repassai les bras dans les bretelles. Je découvrirai plus tard que toutes les femmes ou presque font pareil. Déjà je sentais que mon sexe gonflait et me demandai ce qui se passait. Mon coeur battait la chamade, l’excitation de faire quelque chose d’interdit, et la peur de me faire prendre se mêlaient en moi. La gaine était une gaine ouverte avec des jarretelles pour tenir les bas. J’avais déjà vu dans les publicités pour la lingerie dans Femmes d’Aujourd’hui, le magazine que lisait ma mère, comment cela se passait. J’enfilai donc un premier bas et l’attachai aux jarretelles. Puis le deuxième. Mon petit sexe était gonflé, dur, mais aucune éducation sexuelle ne m’avait été prodigué, et je ne comprenais pas. Tout ce que je pus constater ce jour là était que c’était agréable.Je sortis du cagibi et montai dans la chambre de mes parents, où se trouvait une armoire pourvue d’un grand miroir d’un mètre et demi où je pus m’admirer en cap. je restai là cinq minutes à m’admirer, puis redescendit me changer, bien décidé à renouveler l’expérience la semaine d’après.Au fil des semaines, j’ai amélioré ma technique. je passai mes après-midi dans la chambre de mes parents, face à cette fameuse glace. Sur les sous-vêtements de ma mère, je me mis kaçak iddaa à porter une de ses robes, une robe «du dimanche» grise à fines rayures blanches , légèrement décolletée, qui avait la particularité de se boutonner sur le devant, ce qui me facilitait les choses, n’ayant pas à me contorsionner pour la fermer dans le dos. Je mettais aussi une de ses jupes droites qui moulait bien mes hanches. Puis un jour, je déboutonnai le bas de la robe, retirai le slip et m’allongeai sur le lit face au miroir. Je rabattis mon sexe gonflé entre mes cuisses pour le faire disparaître, et me contemplai dans le miroir, odalisque au bas-ventre sans duvet, lascivement étendue sur le lit. Ce fut ma première éjaculation. Mon sexe emprisonné entre mes cuisses commença à me faire mal. Je le relâchai, et instinctivement, ma main l ’emprisonna. Je tirai sur la peau de ma verge, et découvris les deux petits trous de mon gland. Malheureusement pour moi, je ne pouvais pas décalotter mon gland en entier. J ’avais un phimosis, ce que j’appris bien plus tard. Mais le fait de tirer sur la peau de ma hampe et de la relâcher me donna une sensation qui bientôt dépassa la douleur que me procurait ma malformation. Je continuai à me masturber (terme que bien évidemment je ne connaissais pas à l’ époque) et bientôt un liquide blanchâtre s’ échappa du bout de mon gland recouvert de peau. J’étais paniqué et en même temps au bord de l’extase… J’essuyai mon sperme avec un mouchoir, plein de questions…Un jour, alors que je me pavanais en jupe, bas et soutif, kaçak bahis je vis par la fente des persiennes de la chambre de mes parents, ma soeur, de quinze ans mon aînée, et qui habitait la maison d’à côté, remonter le sentier menant à la rue pour venir chez moi. J’avais à peine trente secondes pour me rhabiller en garçon. Je retirai la jupe en vitesse, passai mon pantalon. Elle était dans la rue. Je mis un polo qui recouvrit heureusement le soutien-gorge, enfilai des chaussettes et fonçai, après avoir jeté la jupe sous le lit, vers mon bureau. Elle était à notre porte de maison et m’appelait. je lui répondis la voix tremblante que j’étais dans ma chambre. Elle monta, et resta bavarder un quart d’heure avec moi. Ces quelques minutes furent les plus longues de ma courte vie. Elle repartit sans rien remarquer. Ouf! J’étais sauvé… Mais ce ne fus que partie remise.Un matin, alors que ma mère venait de partir, je rejoignis le cagibi, et revêtit les sous-vêtements de ma mère. J’ avais déjà mis le soutif, la gaine et les bas. J’étais debout, en train de me branler, lorsque la porte de la cuisine s’ouvrit sur ma mère qui, ne me voyant pas là, se mit à m’appeler. Je restai silencieux dans l’espoir vain qu’elle repartirait aussitôt. J’étais là, dans ce cagibi, la bite raide, lorsqu’elle en ouvrit la porte. – Que fais-tu dans mes sous-vêtements?» me demanda-t-elle en posant son regard sur mon sexe érigé, qui commença à dégonfler. « Tu fais ça souvent?»Je répondis la voix chevrotante que c’était la première fois, que c’était par curiosité, pour savoir ce que cela faisait de s’habiller en fille. Elle m’ordonna de me dévêtir, et resta tout le temps que dura mon déshabillage, et mon rhabillage en pyjama masculin. puis elle repartit au travail.
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