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La vilaine petite sorcière 3 de 3Miroir, miroir ; ferme les yeux le voyeurC’est si étrange, mais en même temps si excitant d’être là, étendu sur mon vieux lit de camp au chalet de ma mère avec une fille coucher sur moi que je serrais dans mes bras de toutes mes forces. Une fille de mon âge, maigre et osseuse contrairement a moi qui suis dodue, que je connaissais à peine et l’on s’embrassait à pleine bouche en se caressant comme des folles nues toutes les deux. Moi, l’hétéro pure et dure ( en principe ), je vivais ma première expérience avec une autre fille. Jamais j’aurais cru que cela m’arriverait un jour et encore moins ici, aujourd’hui, au chalet de ma mère, et pourtant. Oui, c’était très étrange de sentir ses mains caresser mes seins plus que généreux et si doucement comparer a un garçon, de sentir une de ses cuisses pressé mon sexe mouillé et le sien contre la mienne, et mes mains courir sur son dos étroit jusque sur ses petites fesses dures et rebondit que je pressai très fort, étrange, mais si excitant. En fait, c’était fantastique, bien au-delà de ce que j’imaginais. Rien a voir avec les envies bestiales des gars, qui perdent la tête pour mes gros seins et m’embrasse trop fort, me caresse trop fort et qui sont trop presser de me la mettre dans la bouche ou de me pénétrer pour jouir au plus vite et qui s’occupe peut de me procurer du plaisir. Là, c’était à armes égales, sein contre sein, vulve contre vulve et bouche contre bouche. C’était si bon de sentir sa langue contre la mienne et mes mains sur ses fesses si douces, que je me surpris à prier pour que ma mère prenne tout son temps pour faire ses emplettes au village, même pour qu’elle ait une panne de voiture, la pauvre.Dans la moiteur de la chambre on entendait plus que nos soupirs de filles et le craquement du vieux lit tandis que nos corps en sueur se frottaient avec force tellement l’on se désirait l’une et l’autre a présent. Ma première fois avec une autre fille et je pensait déjà à la prochaine fois. C’est dingue non ! Mais c’était trop bon, trop hot d’être là à se caresser. Cela avait un petit quelque chose d’interdit qui rendait tout ça encore plus enivrant, plus excitant. Voir des filles baiser ensemble sur internet, cela me laissait de glace, enfin… généralement, mais la, le faire, c’était vraiment… wow !« Moi aussi, j’ai déjà hâté à votre prochaine fois les filles ! » Dis soudainement ce satané grand miroir cloué au mur près du lit.Pas moyen de lui répondre à celui-là cette fois, ma langue percée étant trop occupée à combattre une autre langue percée. De toute façon, fallait être complètement cinglé pour entendre un miroir parlé et surtout pour lui répondre. Mais ça m’arrivait depuis ce matin, rien a comprendre. « Rince-toi l’œil, sale vicieux. » Me dis-je.Bizarrement, j’eus l’étrange impression de mener la danse avec Martine. C’était pourtant elle la lesbienne chevronner de16 ans et moi la débutante du même âge dans ce jeu entre filles. Moi qui n’avais même pas eu le courage de faire ça avec ma meilleure amie et pourtant avec elle, je n’avais presque pas hésité. Il ne lui avait fallu que 30 minutes pour me voler un baiser, me tripoter les seins et me sauter dessus dans mon lit. Pas croyable ! Et j’aimais tellement que je paniquais un peu, m’imaginant déjà préférer les filles. Moi, lesbienne ? Seigneur, sauvé moi ! Et là. Je me sens fiévreuse, alanguie, heureuse, lui palpant les fesses avec force en frottant mon sexe humide contre sa cuisse comme une chatte en chaleur ; mes orteils se replient ou se dresses, je sens ses petits seins écraser sur les miens glissant de sueur, ses lèvres si douces et sucrées plaquer sur les miennes, nos langues qui ne cesses de se combattre, tantôt dans sa bouche, tantôt dans la mienne. Toutes ses sensations m’étourdissent, me fascine, m’excite au possible et me donne juste le goût d’aller plus loin tellement je mouille couvrant sa cuisse de cyprine et elle la mienne. Toute fois, j’ai tout de même quelques réticences encore à l’idée de me retrouver le visage entre ses cuisses, de sentir l’odeur de son sexe, de le lécher ou d’y enfoncer des doigts ou la langue. Je ne suis pas certaine d’y arriver.Mais là, un doigt en avant dans sa raie, je ne peux m’empêchai de caressé son anus que je sens bosseler et moite de sueur. Toucher cet endroit si intime, celui d’une autre fille, m’excite encore plus. Je l’agace du bout du doigt, le tapote, la sentant frémir et l’y enfonce juste un peu. Elle lâche un gros soupir immédiatement. Son petit trou est très étroit chaud et humide et se contracte, j’aimerais trop quelle me fasse la même chose. Quand un garçon me fait ça, je perds la tête, mais au point d’y laisser glisser leurs bites, même si parfois, j’hésite avant de leur dire non. Ça me fait un peut peur je dois dire.Martine palpe toujours mes seins qui la fascinent avec frénésie puis, soudainement elle glisse sa main droite jusque sur mon pubis contre sa cuisse, dans ma toison noire très fournie. Ça me chatouille tellement que j’en frémis. Ses doigts s’y attardent un instant avant de descendre sur ma fente quelle presse fortement, puis tapote, puis frotte un doigt en avant et presse a nouveau, tapote a nouveau et frotte a nouveau a me rendre folle. C’est si bon que mes cuisses s’écartent en grand comme si je m’attendais à me faire pénétré. Sous le coup du plaisir intense que je ressens, mon doigt c’est un peu plus enfoncé entre ses fesses et je l’agite, le fait aller et venir. Nos soupirs et nos gémissements s’accentuent de plus en plus surtout qu’elle agace en même temps mon clitoris bandé et si sensible m’arrachant des grimaces de plaisir. Bon Dieu que c’est bon, bien meilleur que quand un garçon me touche le sexe, rien de comparable. J’en gémis dans sa bouche m’abandonnant complètement à cette fille que je connais à peine. Mes grandes lèvres sont toutes gonfler et bien ouverte, ma mouille bahis firmaları coule jusque sur mon anus, ça aussi ça m’agace terriblement. Je ravale ma langue, me sentant essoufflé pour laissé ma bouche glissée sur son épaule que je mordille en sortant mon doigt de son cul pour le pousser plus bas sur sa fente ouverte et bien humide qui chatouillait ma cuisse depuis un moment. Une vulve de gamine sans aucun poil comme était la mienne vers 11 ou 12 ans. Je sens trop bien ses lèvres vaginales mouillées glisser contre mes doigts, autant les petites que les grandes, ça me donne autant de frissons et de plaisir que sa main entre mes cuisses. La tête me tourne tellement je me sens bien, tellement j’ai chaud dans cette chambre minuscule, tellement j’aime me faire caresser et la caresser et le goût salé de sa peau si douce. J’ai même la sensation que je vais réussir à jouir tellement c’est bon, ce qui ne m’arrive pratiquement jamais, que se soit avec un gars ou en me masturbant avec les doigts. Je veux lui dire à quel point j’aime ça, mais…Elle glisse un doigt très facilement dans mon vagin tellement je suis mouillé, je me crispe de plaisir en lui mordillant l’épaule tout en lâchant une plainte pour lui faire savoir a quel point j’apprécie, incapable de parler, et je lui fais la même chose. Mon index trouve l’entrée de son vagin et je l’y pousse. Son sexe étroit est aussi bien lubrifié que le mien, mon doigt y entre aisément et s’y agite. Elle enfonce le sien en moi jusqu’à la jointure, même un deuxième et les fait aller et venir, c’est trop bon, même que je sens déjà un orgasme se pointer à cause de sa paume qui me frappe le clito avec force. Pas possible… sans vibrateur ! Et pourtant je sens cet orgasme gonfler et exploser en moi comme un flash. Mes yeux se révulsent tandis que je me plains encore plus fort. Tous mes orteils se replient, je me raidis, j’ai de petites crampes vaginales, j’aspire l’air humide comme si j’allais me noyer. Une onde de plaisir intense me traverse, du ventre a la pointe des seins, c’est presque trop bon.Me v’là à me tortiller sous elle en gémissant, le souffle court, le cœur battant à toute allure sans cesser de la pénétrer avec mon majeur. Et elle s’y met elle aussi, nous v’là à crier de plaisir en cœur. Dans un endroit aussi calme et paisible que cette cabane, cela doit s’entendre de la route deux filles en train de jouir en même temps. Enfin je pense qu’elle jouit, elle m’en bave sur l’épaule en gémissant comme une gamine tandis que je sens son vagin se contracter sur mon doigt. Mon orgasme s’évanouit peut a peut, mais elle continue a me pénétrer avec force et… déjà je sens que… oh oui… encore, j’y crois pas. « Quel beau spectacle les filles, mais dure pour les oreilles, enfin, si j’en avais. »« Ferme-la, toi ! »« Oui princesse. »Un deuxième orgasme explose au creux de mon ventre et bien plus puissant qui me fait serrer les dents et grimacer à n’en perdre le souffle encore une fois. Seigneur !Je jouis encore plus, tellement que mon doigt sort de son vagin et me v’là à crier plus fort, et ça, c’est pas trop mon genre habituellement, surtout timide comme je suis, on doit m’entendre du village a présent, mais je m’en fou, car je veux qu’elle sache a quel point elle me procure du plaisir. En plein orgasme, je lui prends la main et la force à stopper, c’est bon, mais elle m’agace beaucoup trop le clitoris. Je finis de jouir, en agitant les jambes, en expirant longuement… me sentant si soulager, si bien que je plane en fixant le plafond jauni en sentant mon cœur affoler. Jamais je n’ai joui aussi vite, c’est dingue. Je me dis que j’ai besoin d’une pause là tellement je suis essoufflée, mais au même moment elle m’écarte les jambes avec ses genoux et son corps glisse vers le bas pour placer son visage à hauteur de mes seins qu’elle prend pour y poser de doux baiser chatouille qui me font frémir. Je souris, si heureuse en me reprenant peut a peut, cuisses toujours écartées, sentant son ventre contre mon sexe détrempé. Chacune de ses inspirations me l’écrase un peu, me donnant des sensations supplémentaires des plus agréables. Je pose mes pieds sur ses petites fesses pour lui caresser doucement, je les sens si douces. Tandis que mon cœur se calme enfin, je frémis de plaisir comme à chaque fois que l’on joue avec mes seins. Elle me les presse, les soulèvent, s’y frotte le visage, les embrasse, les lèche, les mordille, puis les presse a nouveau pour rapprocher mes mamelons dressés, et sa petite bouche humide les attaquent, mais tout en douceur. Ils sont si durs et sensibles que j’en Frisonne de plaisir, surtout quant je sens son piercing de langue les toucher. Elle me les suce l’un après l’autre en les étirant au max comme si elle espérait en tirer du lait ou les agaces du bout de la langue. Mes tétons mouillés de salive deviennent encore plus gros, plus sensibles, tellement que j’y sens le moindre courant d’air, même sa respiration. C’est si doux comparer a la bouche d’un garçon, tellement plus sensuelle que je plane a nouveau, trop heureuse de se traitement de faveur. En plus, ces cheveux longs attachés en deux grosses couettes me chatouillent la peau. Frissons et gémissement s’enchaînent. J’adore, je me sens comme en transe en laissant mes mains glisser sur son dos, ou caresser sa tête et sa nuque gracile, mes pieds toujours sur ses fesses que je presse ou que j’écarte et cela semble lui plaire énormément. Elle a les yeux tout petits et brumeux la Martine, ses beaux yeux gris clair que je lui envie tant. En plus, je sens très bien ses petits seins ronds écraser sur mon ventre et ces tétons durs également, ça me chatouille, c’est fantastique, fabuleux tout ça. Je ne veux plus que ça s’arrête, j’aime trop. Je voudrais que cela dure toute la journée, qu’on reste là, au lit, à se frotter, se coller, se caresser., se bécoter. Mais…Elle se descend plus pour kaçak iddaa pousser le bout de sa langue dans mon nombril, ouf, ça chatouille tellement… puis jusque dans ma toison, ça aussi ça chatouille, même presque trop à me faire rire cette fois. Je sens si bien le bout de sa langue se balader sur mon mont de vénus si près de mon clito. Comme je sais très bien ce qui va suivre, cette fois, c’est une grosse chère de poule qui couvre mes avants-bars et mes mamelons et ça y est, sa petite langue s’approche de mon clitoris donc elle fait le tour avant de l’agacer plus directement. Mes cuisses s’ouvrent complètement pour lui offrir mon sexe. Après avoir joui, mon clitoris était retourné se cacher, mais voilà qu’il se montre le bout du nez à nouveau, le vilain petit garnement. Elle le suce maintenant en agitant sa langue dessus, se qui me fait me raidir, me lamenter et soupirer en serrant les fesses, en soulevant le bassin, tout en lâchant des petits ( oh oui ) timides… et elle me passe a nouveau deux doigts dans le vagin en même temps. Doux Jésus, je passe près de hurler cette fois en me tortillant de plus belle, je suis au paradis. Bon Dieu que c’est bon, presque trop, trop de sensation. Je ferme les yeux pour mieux tout ressentir passant près de jouir à nouveau. C’est si bon que j’ai l’impression que je vais m’évanouir de plaisir. J’entends mieux tous les grincements du lit, les sons de la forêt, je sens mieux l’odeur musquée de nos sexes se mélangeant a l’odeur de sueur émane de nos corps par cette chaleur humide. Que c’est bon d’avoir la tête d’une autre fille entre les cuisses, de sentir langue et doigts s’y agiter, de voir son corps de maigrichonne allonger entre mes jambes ! Quelques délicieuses minutes plus tard, ses doigts ressortent, maintenant je sens sa langue descendre sur ma vulve trempée pour la lécher a petit coup rapide. Je me crispe en sentant a présent ses doigts se refermer sur mes grandes lèvres gonflées pour les ouvrir en grand tandis que sa langue m’agace les petites, les lèches, les suces et a nouveau le clitoris. Seigneur ! Pourquoi j’ai le goût de pleurer ? « Parce que personne ne t’a jamais fait ça aussi bien princesse. Parce que c’est une fille, comme toi, elle sait mieux si prendre qu’un gars. »Mes plaintes et mes gémissements emplissent la chambrette tandis que mes jambes s’agitent toutes seules contre son corps, mes talons glissant frénétiquement sur le drap froissé que mes mains empoignent fortement. Et la je pense à mon anus, si sensible, le sentant pulsé. Alors je lève les genoux, passe mes mains en dessous pour les rabattre sur mes seins en disant :— Lèche-moi le cul aussi Martine.Sa tête entre mes cuisses s’agite plus, sa petite langue pointue me lèche de bas en haut, du clitoris, en passant par l’urètre jusqu’à l’anus ou elle s’attarde un peut avant de remonter et d’y revenir, ça, ça me coupe le souffle tellement ça agace. Puis elle me fouille le vagin le plus loin possible me pénétrant avec la langue son petit nez heurtant mon clito. Je me plains à chaque coup de langue, à chaque coup que reçoit mon petit bouton comme quand un gars me pénètre et que nos pubis se tamponnent. Je vois mes petits orteils tout raidis en l’air, trop mignons. Puis sa langue retourne a l’anus et y entre, la aussi et bien profond et s’agite. Ouf ! Ça, c’est trop bon, oh oui… Je me lâche une jambe pour me branler, j’en peux plus. Elle raidit la langue et la fait aller et venir dans mon cul et j’explose, un autre orgasme qui me tétanise et fait trembler les gros muscles à l’intérieur de mes cuisses. Me v’là les yeux pleins d’eau à crier encore une fois de plaisir. En fait, j’ai l’impression d’entendre crier une autre fille, « c’est pas moi qui crie comme ça, pas possible. » Au même moment elle glisse encore deux de ses doigts dans mon vagin détremper, sort sa langue de mon cul et le remplace, par un doigt le poussant le plus loin possible pour plaquer sa bouche sur mes clitos qu’elle suce en le titillant le nez dans ma toison cette fois contre mes doigts qui s’y agite. Chiot de chiot !!! Là, c’est le pied, la totale, car ses doigts s’agitent dans mes deux trous et sa langue sur mon petit bouton. J’en frissonne et me tortille comme une démone dans un bain rempli d’eau bénite. C’est le grand feu d’artifice dans mon bas ventre, un autre orgasme et hyper puissant, j’en ai même envie de pisser, mais je réussis à me retenir, je ne sais trop comment. En plus, elle se touche les doigts en moi, celui de l’anus et ceux du vagin, ça, c’est trop fort. Cette fois, je vais m’évanouir pour de vrai. J’ai jamais connu un plaisir pareil même avec mon vibrateur. Mon esprit s’embrouille tandis que je crie mon plaisir sans pudeur à présent. L’orgasme diminue d’intensité et s’évanouit, je me sens toute molle, elle ralentit la cadence et lâche mon pauvre clitoris. Je cesse de me plaindre et de me branler, laissant mes pieds retomber lourdement sur le lit. Mes mains remontent sur mes seins que je caresse mollement. Toutes ses sensations me rendent quasiment folle et comble du bonheur un autre orgasme arrive, mais un petit, moins puissant celui-là. Ouf !Cette fois je lui dis d’arrêter tellement je me sens bien, mais surtout vider… heureuse… satisfaite… Elle retire ses doigts de moi en levant la tête arborant le sourire d’une gamine qui vient de faire le pire des mauvais coups le visage luisant de cyprine. Je n’ai même plus la force de garder mes genoux en l’air, ils retombent sur le matelas tandis que je souffle comme un phoque qui vient d’échapper de justesse à une orque. Ma peau ruisselle de sueur et je dis tout bas, la voix enrouée :— Viens dans mes bras, je veux te serrer fort fort, vilaine fille vas !— Hummm… fait-elle toute chatte en s’essuyant la bouche pour ensuite s’étendre sur moi en me disant a l’oreille ; Vilaine, moi ?— Oui vilaine, je savais bien qu’il y avait quelque chose dans kaçak bahis la pomme que tu m’as donnée, vilaine petite sorcière.— Me serre pas si fort tu vas me casser le dos ou faire éclater tes grosses boules.— Tu le mériterais que je te casse en deux, débauché une hétéro pure et dure comme moi. T’as pas honte ?— Ta détesté, hum ?— Oh oui, terriblement.— Tu as fait semblant de jouir ?— Oui, je sais pas trop pourquoi. Peut-être parce que tu travaillais très fort et que je t’ai prise en pitié.— On ne recommencera plus ? — Jamais.— Jamais, jamais ?— Oh que non !— T’es qu’une vilaine menteuse Mimi la bombe. Je sais que…— Que quoi ?— Que tu es maintenant en mon pouvoir, car tu m’aimes à la folie !— Oh que non ! — Oh que si ! Et là, c’est à ton tour de me faire jouir Mimi.— Pas question.— Oh que oui !— Oh que non.— Je vais me retourner.— Je te l’interdis.— Je vais te mettre mon sexe juste sous le nez.— Pouash, dégueu !— Tu vas me le lécher et mon beau petit cul.— Jamais.Elle tente se se défaire de mon étreinte, mais, par jeux, je la serre plus fort. On se fixe et on éclate de rire et tandis qu’elle se démène on roule alors sur le flanc souder l’une à l’autre en s’embrassant comme des folles. Mais comme on est trop près du mur, je recule les fesses en la tirant vers moi et le maudit lit de camp que ma mère a acheté dans un surplus militaire bascule tout à coup.On cris a plein poumon en tombant durement sur le planché, sans ce lâcher et on roule jusqu’au mur, juste sous le miroir avant de rire comme des folles a nouveau a n’en pleurer, toujours dans les bras l’une de l’autre. Et je dis :— Alors le miroir, tu tes biens rincer l’œil ?« Oh oui Princesses. »— Tu là entendu Martine, il ma répondu.Elle rit avant de me dire dans le creux de l’oreille :— Faut te faire soigner Mimi, ça ne tourne pas rond dans ta jolie petite tête.— Je pense que non.— C’est sûr et certain. C’est quoi ça ?— Quoi ? Tu…— Chut, écoute.Et j’entends un doux ronronnement lointain, mais qui s’amplifie trop rapidement a mon goût, ce qui me donne la chair de poule ; une voiture. C’est ma mère, c’est sûr et certain tellement ce trou est perdu, loin de tout.— On dirait une voiture mimi.— Merde !!! Ça est ma mère. Vite, nos maillots.— Pas question, dit-elle en m’emprisonnant a son tour dans ses bras, même qu’elle emprisonna aussi mes jambes avec les siennes.— Arrête, ma mère va arriver. Dis-je en me débattant un peut paniquer a l’idée de me faire surprendre nu dans cette chambre avec une autre fille. Ça, se serait drôlement gênant, embarrassant au possible, la honte totale. Plus jamais j’oserais regarder ma mère dans les yeux.— Pas avant que tu m’as dit ; Martine, ça tété incroyable, fabuleux, je suis amoureuse folle de toi.Elle me fixait tout sourire la vlimeuse.— Bon, bon, je le dis.— Ben, dis-le.— Ç’a été fabuleux, incroyable, fantastique. OK, vite, faut se rhabiller !Mais elle refuse de me lâcher.— Et…Gros soupir.— Et, eh… je t’aime.Ça sonna tout drôle a mes oreilles de m’entendre dire ça a une fille même si dans quelques jours elle partait et que je savais très bien que je risquais de ne jamais la revoir. En fait, ça me donna la chair de poule malgré la chaleur suffocante et, étrangement, me fit même me sentir très heureuse.— Lâche-moi maintenant, l’auto rentre dans la cour, merde ! Martine !!!— Je t’aime aussi, Mimi la bombe.— Oui, oui, super Martine. Le moteur de la voiture s’arrête derrière le chalet, mon cœur aussi. Cette fois, complètement paniquer je la repousse si fort qu’elle en revole contre le lit renverser en riant comme une folle et on se lève pour remettre nos maillots a toute vitesse pour ensuite relever le lit. Bon Dieu que j’ai chaud, je dégouline de sueur. La portière de l’auto s’ouvre et claque avec fracas dans le silence de la forêt. Martine m’enlace et me donne un petit baiser et dit :— Jure-moi que tu m’aimes vraiment.— Je le jure, fis-je nerveuse en fixant ses yeux si beaux. Et toi, jure-moi que tu m’aimes pas juste pour mes gros seins.— Je le jure.« Tu viens de signer un pacte avec une sorcière princesse. Tu vas le regretter. »Pourquoi je frisonne tout à coup, parce que l’ombre de ma mère vient de passé derrière le rideau de ma fenêtre ou à cause des yeux de Martine qui luise de malice.Une minute plus tard, ma mère entre dans le chalet avec une grosse boite à pizza dans les mains et des paquets et fige en voyant deux filles essoufflées, assises à table, bien sagement, à faire semblant de jouer au tarot. J’ai trop l’impression que ce que l’on vient de faire Martine et moi se voit sur mon visage tout rouge. Même que ma main tremble en déposant une carte devant Martine, celle représentant la mort avec sa faucille. Seigneur !— Je te présente Martine, M’man.— Salut Martine. Pauvre toi, les mouches ton pas manqué.— Salut ! Non, mais Mimi ma appliquer du baume.— Ça va aider. Vous êtes bien essouffler les filles ? Vous avez couru après un écureuil ou quoi ?— Ses parents campent aux chutes et ils vont venir faire un tour ce soir. Répondis-je éludant la question ?— Super, fait ma mère en posant la pizza sur le comptoir de cuisine, pour sortir des assiettes de l’armoire, tu veux de la pizza Martine ?— Oui, merci.— Tu sembles essoufflé toi aussi.— Eh… M’man.— Hum…— Sa mère va nous faire une démonstration de produit en même temps. Des gadgets sexuels.V’là ma mère figer devant les armoires. Trop drôle ! Moi et Martine on se regarde et on éclate de rire.— Ah, fait-elle simplement, pas de problème. Ça me fait penser Mimi, j’ai trouvé quelque chose à toi dans le coffre de la voiture de la voiture. Ça du tomber de ton sac a dos.— À moi, quoi ?— Là, dans le sac sur la table.J’ouvre le sac et fige en apercevant mon vieux vibrateur. « Oups ! »— C’est un vrai truc médiéval ça ma fille, ce soir je te fait un cadeau. Ça tombe bien non que sa mère fasse justement des démonstrations de ce genre de chose ?« Chiot ! » Me dis-je en entendant un rire sardonique provenir de ma chambre en même temps que Martine me caresse une cuisse sous la table et que je dépose la carte de l’amour, sur la mort.Pourquoi j’ai si chaud tout à coup ?Fin

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