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La voisine…Mon nom est Julie. Je suis une jeune étudiante de 19 ans, célibataire. Je vis seule dans un appartement en rez de chaussée d’une résidence universitaire située dans un quartier tranquille d’une grande ville. En ce moment, je n’ai pas de petite amie régulière. Ce matin, je me suis réveillé d’un rêve très érotique au cours duquel j’ai joui plusieurs fois de suite. Chose étonnante, j’ai fait un “rêve contre nature” si l’on peut dire. Car je suis lesbienne, et j’ai rêvé que je me faisais prendre dans un cinéma par un inconnu (Voir l’histoire précédente : orgasmes nocturnes) Pourquoi j’ai fait ce rêve avec un homme ? Et pas avec une femme ? … Et bien, je suis incapable d’en trouver la raison. Mais une chose est certaine, j’ai atteint un degré de jouissance très élevé sur l’échelle du plaisir qui m’a laissée complètement éreintée a mon réveil… Avec un désir sexuel latent. Heureusement, je n’avais pas de cours aujourd’hui…Je me suis donc levée avec peine. Pris, une douche froide pour calmer mes sens et me revigorer. Comme il faisait bon et que je restais à l’appartement pour travailler sur mes cours, je n’ai mis qu’une culotte et un T-shirt, sans mettre de soutien-gorge dessous, j’aime bien avoir les nénés libres. J’ai ventilé ma chambre, refait mon lit avec des draps propres avant d’aller prendre mon petit-déjeuner.Ma petite vaisselle faite, j’ai ouvert la porte-fenêtre du séjour pour aérer et je me suis installée à mon bureau pour travailler sur l’exposé que je dois rendre la semaine prochaine.Mais je n’arrive pas à me concentrer sur ce que je dois faire. Ce rêve tourne en boucle dans mes pensées, je suis dans un tel émoi que ma culotte est tachée par mon humidité, et mes tétons tiennent bien droits, je pourrais y accrocher un manteau. Heureusement que je ne suis pas en amphithéâtre, car je serais dans l’incapacité de réfléchir à tout autre chose et ma concentration inexistante. Alors j’ai abandonné pour m’asseoir sur le canapé et regarder la télé, espérant me changer les idées.Tout en regardant une émission à laquelle je n’arrive pas à m’intéresser, je laisse mes mains se perdre. Une sous le t-shirt. L’autre entre mes cuisses, puis sur la culotte… et enfin dans la culotte. Je me caresse, lentement. Rapidement, jusqu’à sentir dans mon bas-ventre ces picotements et cette envie de jouir que je connais si bien. Et en moins de temps qu’il ne m’en faut pour vous l’écrire, je suis nue. Culotte et t-shirt gisent à côté de moi sur le canapé.Je serre mes seins, tire sur mes tétons, frotte mon bouton d’amour, puis je pousse un doigt dans mon puits à plaisir, puis deux… Et trois. Leurs va-et-vient dans ma mouille font un léger clapotis excitant. Je me laisse aller à cette jouissance… C’est trop bon ! Mais pourquoi me presser ?… Plutôt que d’un orgasme rapide qui va certes me soulager de ma tension sexuelle, pourquoi ne pas prendre mon temps et jouir de ce plaisir aussi longtemps que je peux le retenir, l’orgasme qui s’en suivra n’en sera que meilleur. Alors je ralentis mon rythme, je me couche sur le dos, cuisses grandement ouvertes, une jambe qui pend hors du canapé, l’autre sur le dossier. Les yeux fermés, je prends mon temps en caressant mes zones érogènes. M’attarde sur mes seins, mon nombril, le pubis, l’intérieur des cuisses proche de l’entrejambe, et plus mes caresses sont dirigées vers mon sexe, plus mon plaisir s’intensifie. Sans oublier ma fente que je parcours de la pulpe de mes doigts comme si c’était des plumes. La mouille inonde ma fente, ma respiration devient haletante. Perdue canlı bahis dans mon petit monde, je ne vois pas arriver l’importune sur le pas de ma porte-fenêtre. C’est seulement en entendant une voix de femme s’écrier : – Oh mon dieu !… Pardon !Que paniquée, je me redresse comme un ressort, pour découvrir Jeanne, ma voisine, dans l’embrasure. Affolée, je me rhabille à la va-vite, en balbutiant des incohérences. Puis je l’invite à rentrer.Jeanne est étudiante comme moi. Blonde, comme je suis brune, des yeux bleus et des formes là ou il en faut surtout au niveau de la poitrine, pas comme moi qui ai de petits seins. Nous avons le même âge et allons à la même université où nous suivons la même spécialité. Comme moi, elle habite l’immeuble, au premier étage, l’appartement au-dessus du mien. Sans être vraiment amies, nous sommes tout de même deux bonnes copines. Bref, l’on se connaît très bien, ce qui explique qu’elle puisse arriver à l’improviste. J’aurais dû y penser et fermer ma porte, tirer le rideau, avant de commencer mes cochonneries. Jeanne rentre, embarrassée. Sa première réaction est de s’excuser de m’incommoder :”J’ai besoin d’un document pour finir le travail que l’on doit rendre. Je venais voir si tu l’avais. J’ai sonné à ta porte, comme tu ne répondais pas et que j’entendais la télé, je suis passé par-derrière pour attirer ton attention.” Je suis morte de honte de m’être fait surprendre en pleine masturbation, cuisses ouvertes sur ma vulve luisante de mouille. Je suis sure qu’elle s’est bien rincé l’œil avant son exclamation de surprise.Je la fais asseoir sur le canapé, pendant que je vais préparer deux cafés. En espérant que ce laps de temps sera suffisant pour que je reprenne une contenance, avant de me retrouver de nouveau en face d’elle.Je reviens et fais comme si de rien n’était. Nous buvons nos cafés en parlant du travail à rendre en début de semaine prochaine et de ce fameux document qu’elle est venue chercher. Puis nous rions d’une chose et d’autre. Mon embarras a disparu. Jusqu’à ce qu’elle m’annonce : – Bon, il faut que je “m’arrache”, j’ai encore beaucoup de travail et il ne se fera pas seul ! Et d’enchaîner en posant une main très haute sur ma cuisse, qu’elle accompagne d’un petit sourire entendu et d’un regard coquin : – Puis toi aussi, tu as quelque chose à terminer !De nouveau honteuse, bouche bée, le rouge aux joues, les yeux écarquillés, je reste sans réponse. Mais tout en me parlant, sa main qui me caresse l’intérieur de la cuisse, se rapproche furtivement de mon entrejambe et m’émoustille. Je cherche quelque chose à dire.-Écoute, je suis tellement consterné que tu m’ait surprise comme ça. – Mais non… Ne soit pas embarrassée Julie, je te taquine ! Et puis je peux te l’avouer, il m’arrive assez souvent de faire pareil… Je suis cochonne et gourmande ! … Encore ce matin sous la douche ! … D’ailleurs, tu étais si belle nue en train de te caresser que cela me donne de nouveau des envies, pour quand je vais rentrer…- Tu es gentille d’essayer de me déculpabiliser… Tu n’en parleras à personne, je peux compter sur toi ?- Tu as ma parole Julie.- Merci Jeanne … Mais il faut que je te raconte pourquoi tu m’ as trouvé dans cette position, en train de m’occuper de moi :”Cette nuit, j’ai fait un rêve érotique, tu sais, de ces rêves lucides qui occasionnent des orgasmes nocturnes très intense. Mais pour moi, c’était une découverte, mon premier. Il m’a laissé dans un tel état au réveil, que je ne peux me concentrer sur rien. Alors pour éliminer cette tension sexuelle, j’ai bahis siteleri fait la seule chose qu’il me restait à faire : me donner un orgasme… Tu connais la suite !”- Oh, ma puce ! Je suis désolée de t’avoir “pourri” cette délivrance ! Mais Julie, tu en as trop dit où pas assez, et maintenant ma curiosité est aiguisée… Allez ! Raconte-moi ton rêve, sinon je ne bouge pas tant que tu ne l’as pas fait ! … Finit-elle en rigolant.Après une brève hésitation, je lui conte mon songe, pensant que peut-être, d’en parler Cela me libèrera. Au fur et à mesure que je raconte, à son regard, ses attitudes corporelles, je remarque que mon récit ne la laisse pas insensible. Quand j’ai fini, d’une voix devenue tout à coup alanguie, elle me dit :- Je comprends qu’il te tarde que je parte. Tu dois mourir d’envie de reprendre !À son propos, mais surtout du fait de me laisser toucher au plus près de ce que j’ai de plus intime, sans rien faire pour l’arrêter, pendant que je racontais cette chimère, un sentiment de honte m’assaille. Les yeux baissés sur cette main qui vagabonde dans mon entrejambe si proche de mon abricot juteux. Je hoche la tête en signe d’assentiment, car ce qu’elle vient de dire est vrai. Et en atteignant le bord de ma culotte avec son pouce et jouer avec, elle rajoute :- Ce doit être terriblement frustrant d’avoir été interrompue, et à voir la tache sur ta culotte, ce n’est pas une petite, mais une grosse envie que tu te tiens !Et elle finit en riant :- Moi, aujourd’hui cela ne peut pas m’arriver, je n’en porte pas. Joignant le geste à la parole, elle soulève sa robe et écarte ses cuisses pour me montrer. Quelque peu décontenancée, si je suis irrésistiblement attirée par cette chatte touffue, déjà brillante de cyprine autour des lèvres. En même temps, de la même manière que Jeanne apparaît si sûre d’elle, je reste indécise sur la conduite à tenir et ce qu’elle cherche.Je n’aurais pas à attendre longtemps pour être fixée.Elle rapproche son visage du mien tout en me regardant malicieusement. Puis en appuyant la caresse de ses doigts sous la lisière de la culotte, elle colle sa bouche à la mienne. Un frisson m’électrise entièrement et c’est à cet instant que tout bascule… Sa main qui furète dans ma culotte. Nos langues qui dansent furieusement dans nos bouches, le souffle chaud, les dents qui se heurtent, nous entraînent hors du temps, vers le 7e ciel, tant notre libido est exacerbée.L’autre main de Jeanne est passé sous mon t-shirt pour m’empaumer un sein. Je me suis mise à pétrir les siens sur sa légère robe à fleurs, je joue avec ses tétons libres, car comme moi, elle n’a pas mis de soutif. La deviner entièrement nue sous sa robe n’arrange pas l’état de ma culotte, et me fait fondre littéralement. Au point que maintenant en plus de la culotte, c’est le canapé que je dois être en train de mouiller… Une culotte et un T-shirt qu’elle m’enlève en me regardant dans les yeux. Je ne peux pas résister davantage à la tentation de la toucher, je la tire sur moi en me couchant sur le canapé et l’embrasse avec fougue, tout en baladant mes mains partout sur son corps, ses seins collés aux miens. – Attends ! Je ferme la porte et je tire le rideau. Une voyeuse ça va, deux c’est trop ! Me dit-elle en riant.En revenant vers moi, elle fait voler sa robe par-dessus sa tête, et c’est nue qu’elle vient de nouveau se coller et frotter sa poitrine à la mienne. Nos tétons se caressent,. Nos cuisses broient nos minous. Nos plaintes de plaisir envahissent la pièce. J’arrive à passer une main dans l’entrejambe de Jeanne. bahis şirketleri Je sens aussitôt, sous la touffe blonde ses grosses lèvres gonflées de désir, chaudes et mouillées…Puis mes doigts s’immisce dans ses nymphes et vont titiller son bouton.- Hummm… Putain que c’est bon !… Gémit-elleMais Jeanne dont je n’avais jamais soupçonné son attirance pour les femmes, car elle a un petit ami qui vient la baiser régulièrement chez elle (je le sais, je le vois monter certains soirs) savait également y faire avec les filles. Avec cette main revenue dans ma chattoune, lisse et imberbe, comme celui de la fillette que j’ai été, elle m’octroie également du plaisir en masturbant mon clitoris par de petits mouvements circulaires. – Tu aimes… C’est mieux que de le faire soi-même… Et seule, non ?… Raille-t-elle – Oui, j’aime !… Surtout ne t’arrête pas, fais-moi jouir Jeanne, j’ai tellement envie !… L’ambiance était sexuelle. L’odeur dégagée par nos sexes, nos râles, toute cette mouillure que l’on touchait décuplaient notre excitation.Emboitée l’une à l’autre, nous nous embrassons pleine bouche sans cesser de nous masturber et de nous frotter. Les doigts de Jeanne comme les miens s’activent de plus en plus frénétiquement sur nos clitoris, plongent dans nos vulves trempées pour lubrifier nos boutons d’amour et recommencer leurs sarabandes fantasmagoriques. Toute cette envie refoulée depuis son arrivée, les ingrédients mis en place par Jeanne, certainement prémédités depuis qu’elle avait été voyeuse malgré elle, fait que l’orgasme monte en moi rapidement. Je couine et mon bassin, mes hanches, bougent nerveusement comme si j’étais couchée sur une fourmilière.Instinctivement, Jeanne s’imprègne de mes pulsions et glisse sa main pour atteindre le point le plus chaud d’un brasier unique qui m’enflamme : eau et feu à la fois. Quand elle glisse deux doigts dans mon vagin, que son pouce écrase mon clito puis le branle, c’en est trop ! Je sens que je vais venir rapidement !”presque… presque… PRESQUE” …J’ai un profond soupir orgasmique, puis d’un coup, j’explose !… Je jouis… Mon ventre est animé de soubresauts et je me convulse. Je sens ma languette se raidir à l’extrême, mes jambes se resserrent sur sa main, puis je me laisse aller entière à mon plaisir, en jouissant bruyamment…Mon orgasme, mes spasmes, mon délire, met Jeanne dans tous ses états. A son tour, elle laisse échapper un cri libérateur et sauvage. Puis tremblante de la tête aux pieds, ses doigts prisonniers de ma vulve, pendant que les miens sont en arrêt sur son clitoris, elle laisse à son tour l’orgasme la dominer. Essoufflées, avec un besoin de reprendre nos esprits après ce moment d’intimité formidable, l’on s’allonge, face à face, enlacée, malgré le peu de place qu’offre la banquette. Tout en me caressant les seins, Jeanne me murmure à l’oreille : – J’ai adoré Julie !- Moi aussi, Jeanne… J’ai eu un orgasme fantastique !… Puis goguenarde, je la questionne :- Mais dis-moi, tu m’avais cachée que tu aimais les filles ?- Tu sais “j’aime les robinets”, c’est sûr, je ne m’en passerais pas ! Mais j’aime aussi le sexe entre filles. Tu viens d’ailleurs d’en avoir un petit aperçu et tu peux finir de le constater si tu m’invites dans ton lit ! finit-elle en riant. C’était le début d’une relation de voisinage des plus étroites… Et des plus chaudes…Et l’exposé me demanderez-vous ?… Je vous répondrai, en rigolant, que ce jour-là, nous avons travaillé sur un autre sujet beaucoup plus attrayant : le cunnilingus !Et je peux vous assurer que Jeanne est une experte ! Elle sait se servir aussi bien de sa bouche, de sa langue, de sa fourche, que de ses doigts. De mon côté, je lui ai fait découvrir “Julot”, mon double-dong avec lequel on se baise mutuellement… Et souvent !

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