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Sexe et vendanges…Les vendanges de l’amour.C’était mon premier titre. Ça surprend, hein? Vous vous dite, que je me mets à écrire des niaiseries pour magazines pour jeunes filles?? Ben non, ce titre a une sens, car je parle de vendanges et d’amour, alors… Bon, je ne vais pas parler d’amour comme dans “Belle marquise, vos beaux yeux me font d’amour, mourir!”, mais plutôt, comme dans “La marquise sortit à 5 h, sans culotte”. Mais, je me suis quand même décidée pour un titre plus… “accrocheur”!Voici : “Sexe et vendanges…”Mon histoire commence, il y dix jours dans le centre de la France… J’étais chez un ami. Un soir on a rendez vous avec des amis à lui, genre Rotary Club ou Grande Loge ou Opus Dei, vous voyez? On les a retrouvés dans un resto gastronomique. Présentations, mondanités… Heureusement, que j’ai déjà un peu picolé, parce que, comme vous le savez je suis une fille de la campagne et les mondanités, on en faisait pas des masses chez moi! On s’installe à une table. Je regarde la carte que j’ai reçue et je dis, “Oh! Ils ont oublié de mettre les prix!” On m’explique, les femmes sont invitées, donc elles ne doivent pas se préoccuper des prix. D’accord. Pour tout dire, je vais plus souvent dans un Burger que dans ce genre de restaurant. Le sommelier tend la carte des vins au plus âgé des Messieurs comme le veut le bon usage, mais moi, le bon usage je m’assieds un peu dessus (et je n’avais pas mis de culotte!), surtout quand j’ai un peu picolé. Alors je prends la carte au vol. Regards surpris des convives et réprobateur du sommelier. Je leur fait mon plus beau sourire et me plonge dans la lecture de la carte. Il faut vous dire que j’aime le vin rouge et, en particulier, le Bourgogne. Je cherche quelque chose. Je lis… Château…Château… Ah voilà ce que je cherchais, “Il y a du Château Saint Adhémar!”, je leur dis, ravie. “Si tu nous expliquais.”, me dit mon ami avec indulgence pour les fantaisies de sa blonde et jolie (!) compagne. “J’ai fait les vendanges dans ce vignoble il y a quelques années”, je lui réponds, “et ça me rappelle plein de souvenirs”. Aaaah! Bon! Tout s’explique. Mon geste pas très bien élevé a un sens, la conversation reprend. Évidemment, je n’allais pas raconter mes vendanges à ces Messieurs, car il y a des détails qui pourraient choquer ces notables de province. Oui… en trempant ma langue dans le vin, je me souvenais…. C’est il y a une dizaine d’années, je glandais à Paris. Passant des bras d’un garçon, à ceux d’un autre. Parfois dans les bras d’une fille. Je faisais des petits boulots, histoire d’acheter des raviolis, des gauloises et du vin Nicolas. Mais bon, ce n’est pas une vie! J’attendais un signe, genre la chance qui passe et faut lui sauter dessus! On était début septembre, il faisait beau et chaud. Un après midi à une terrasse où je buvais l’apéro avec Nico, mon petit ami du moment et des copains, un garçon dit, “Les gars, demain, je pars en Bourgogne faire les vendanges… Ça ne tente personne?”. “Moi”, je réponds, sans réfléchir, comme d’habitude. Le garçon avec qui j’étais a bien essayé de me faire changer d’avis, mais entre lui et l’aventure, j’avais déjà choisi. Pas emballé, il a dit, “Je viens avec toi.” Pout tout dire, je n’étais pas emballée non plus qu’il m’accompagne! Il commençait à me lasser grave. Le genre jaloux, vous voyez? D’où tu viens? T’étais avec qui? C’est un suçon que tu as dans le cou? Ta chatte est si mouillée!! Merde!! S’il veut à tout prix quelqu’un de fidèle, qu’il sorte avec Lassie. Ben oui, Lassie est fidèle, mais moi, je suis infidèle!! Je parlais de ravioli, mais en fait, j’aime pas ça. Il m’arrivait donc d’arrondir les fins de mois en posant pour des photos. Les fins de mois et le début et le milieu pour tout dire. Attention, pas des photos pornos… érotiques, tout au plus… Le problème, c’est qu’après avoir gambadé à poils dans un studio devant un photographe, ça le troublait! Et il arrivait que des photographes se retrouvent avec une grosses bosse dans leur pantalon… et, non, ce n’est pas leur couteau Suisse. Dans ce cas, il m’arrivait de faire un deal, tu t’occupes de la bosse, je m’occupe de ta rémunération. *** tu faisais une passe, quoi! La Voix, merde! T’as aucune sensibilité : je soulageais simplement un Monsieur qui avait un problème de bosse! Bref, il était jaloux le Nico… et collant… et soupçonneux!! On est rentré dans notre chambre de bonne et il a passé le reste de l’après midi, la soirée et une partie de la nuit à arranger des trucs pour partir le lendemain! Moi, j’ai fait mes bagages… Oh ça a été vite fait : quelques vêtements, un peu de maquillage. Quand on peut mettre tout ce qu’on possède dans un sac, on est un homme ou une femme libre. Le lendemain à 6 h du matin, on retrouve le gars de la veille à la Porte d’Orléans pour faire du stop. Il nous dit, “J’espère qu’on ne va pas rester ici trop longtemps, à 3 le stop, c’est loin d’être évident!” Moi, je ne me fais pas de soucis. J’ai une mini jupe vraiment mini et c’est pas pour dire que je suis super bonne en stop, mais en fait, oui, je suis super bonne! Rapidement, un routier, sympa, nous a prend, à la grande joie de mes compagnons. Je m’assois à côté du chauffer, mon copain qui est fatigué sur la couchette derrière le siège et l’autre gus à côté de moi! Conduire un camion, c’est dur comme boulot, mais être passager c’est cool. Le chauffeur va à Marseille par l’autoroute du Sud et il pouvait nous déposer à la sortie Beaune. On est ravis : tout le trajet sans changer de véhicule et ça, sans rien demander en contrepartie. Enfin… il n’a pas vraiment dû demander parce que…euh… comment dire?? Je vous explique, la chaleur…les vibrations du camion, c’est comme si je chevauche un énorme vibromasseur… C’est le genre de choses qui m’a vite rendue rêveuse et humide! Alors, je me suis rapprochée du chauffeur, il a de gros avant bras musclés et un tee-shirt maculé de cambouis. J’aime les contrastes : moi 47 kg toute mouillée et lui 100 kg de muscles poilus, genre touffes de poils noirs dépassant de l’encolure de son tee-shirt. Il met sa grosse patte sur mes cuisses nues. Ma jupe remonte toute seule, si bien qu’il a tout de suite la main sur ma chatte! Alors, je dis au gars qui se trouve à ma droite, “Toi, tu regarde par la fenêtre.”. Il est surpris, mais du moment qu’on arrive en Bourgogne en fin de journée, il est d’accord. On entend mon copain qui ronfle sur la couchette. J’écarte les jambes et le routier me caresse. Il a des gros doigts, mais il est très adroit avec ma chatte. Juste ce qu’il faut de douceur et de brutalité pour que je me frotte à lui et bahis firmaları à sa main comme une chatte en chaleur!! Ses doigts vont et vienne dans ma chatte et sur mon clito. Je vais au devant d’eux. La chaleur, les vibrations et puis ces doigts habiles plus habitués à manier un cric qu’une chatte… C’est super. Et, comme, je ne suis pas de bois mais plutôt de… braise… je jouis sous sa main C’est vraiment sympa : il nous conduit là où on veut aller et en plus, il me fait jour! La moindre des choses c’est de lui rendre la politesse. Alors, je lui dis : “Si vous avez l’occasion de vous arrêter, je m’occuperai de vous …”. Il me reçoit 5 sur 5. Il s’arrête dans le parking d’une station d’essence. Vu la hauteur du camion les gens qui passent ne nous voient pas. Le chauffeur dit au copain à côté de moi, “Va faire un tour, on doit discuter la petite et moi.” “Vous me reprendrez monsieur?” “Oui.” Évidemment, le fait qu’on s’arrête et qu’on parle, ça réveille mon copain. Il se redresse et me voit nue à partir de la taille, la main du chauffeur, encore entre mes cuisses. Il aime pas et il le fait savoir en gueulant, “Mais qu’est ce qui se passe ici, bordel?” Le chauffeur le regarde froidement et lui répond, “Il se passe, que la petite va me sucer la bite. Toi, tu la fermes où je te botte le cul!” Tête du jaloux!!! Mais bon, comme le disait Audiard, “Quand les types de 130 kilos disent certaines choses, ceux de 60 kilos les écoutent.” J’ai un peu pitié de lui… et puisqu’on est dans les citations, je lui dis, “Allez Nico, fais pas cette tête là! Ce monsieur est gentil de nous véhiculer et puis sucer c’est pas tromper!” Il n’a pas l’air convaincu, mais tant pis. Le chauffeur extrait sa bite de sa salopette. Ooh!! La belle bête!! Épaisse, noueuse, un peu taché de cambouis à la base là où il l’a prend pour pisser. Nico ne dit plus rien et qui ne dit mot… Je dégage le gland et je le prends en bouche… Le chauffer m’encourage, “Ah oui, tu suces bien…”. “Mordille mes couilles, maintenant.” Et aussi et ça, c’est plus discutable, “Allez, petite, montre à ton copain comme tu suces bien!!” Consciencieusement, ma tête va et vient sur une colonne de chair, dont le gland me chatouille la luette et les amygdales! Le chauffeur me caresse la tête en grognant! Quand il sent qu’il va jouir, il dit à mon copain, “Viens voir, je vais lâcher la purée dans la bouche de ta fiancée!” Dire ça à un jaloux!! Quel manque de tact!! Le chauffeur grogne encore et puis se raidit en disant, “Aaaahhhh!! Tiens, tiens et tiens!” Et, chaque “tiens” est accompagné d’un jet de foutre tiède. En général, j’aime pas, ça… mais là… j’avale tout. Alors, que je fais une scène à mon copain, s’il ne se retire pas assez vite de ma bouche. Il n’en a pas perdu une miette, je veux dire une gouttelette, mon copain… Il fait toujours sa tête victime! Le chauffeur du camion sort pour pisser… Je regarde son sexe avec des idées dans la tête… et ailleurs! Quand il a fini de pisser, il secoue sa bite, faisant voler des gouttes qui brillent dans le soleil… L’autre copain, que le chauffeur a envoyé faire un tour, est revenu timidement… Le chauffeur dit, “Allez, je vous offre un sandwich, les jeunes.” Je descends du camion avec l’aide du chauffeur. Il me tient par la taille pour aller à la cafèt’. Je n’ai pas le ventre vide, comme vous savez, mais j’ai faim. Le chauffeur nous offre un sandwich ET un coca. En plus du voyage, bien sûr. Et tout ça grâce à qui?? A mon cul!! Quand a on a fini de manger, le chauffeur me dit, “Il y a des super douches pour les routiers, ça te dirait de les voir??” “Oh oui, M’sieur.” Il se tourne vers Nico, mon copain en lui disant avec un grand sourire, “Ça ne te dérange pas?” Il répond, “non, non…”, avec une tête de martyr. Il est chiant, non? Si j’ai envie de… me cultiver, en visitant des douches de routiers, il n’y a rien de mal à ça… A part que… avec toutes les agaceries qui ont précédées, j’ai vraiment envie de me faire baiser!! On va dans les douches, c’est vrai qu’elles sont bien. On se déshabille tous les deux. Il me prend contre lui et m’embrasse… Je sens la barre dure de son sexe contre mon ventre… On va dans la salle de douche et, merde, il y a déjà un mec qui se lave. Le chauffeur a dit, “Ça ne te dérange pas que j’enfile cette petite, elle a le feu au cul!!” Gros rire du routier! “Vas-y, je t’en prie.” Je lui tourne le dos, les mains appuyées contre le mur, il fléchi les jambes et me pénètre à fond. “Oooooohhhhh oouuuuiiii!!” Le chauffeur est viril, mais hélas un peu rapide, il joui en moi, quand j’allais entamer mon décollage!! Heureusement, il y a une solidarité chez les routiers, l’autre se propose en disant, “Ça ne te dérange qu’on la partage?” Le chauffeur montre mon cul, “Vas-y, elle ne demande que ça!” C’est un peu vrai! Il vient immédiatement, prendre la place encore toute chaude… Je sens un tout gros sexe à l’entrée de vagin et puis, “rrrhhann!!Il”, il me péntre à fond! Heureusement, que je suis super bien lubrifiée!!! Mmmmhhh… c’est bon!! Cette fois-ci, je décolle!! Lui aussi et il jouit en moi. Ma chatte doit ressembler à la fontaine de Trevi, les pièces en moins, hélas. Bon, faut se dépêcher, les deux hommes m’aide à me laver. C’est très, très sympa. N’empêche, se faire baiser par deux hommes en suivant, c’est limite inconvenant! Et avec mon petit ami qui n’est pas loin!! On ressort tous les 3 très propres. On dit merci, au revoir et bonne route à l’autre chauffeur. Nico, me lance un regard lourd de reproches. Ingratitude des hommes! Si ça se trouve grâce à moi, il prend un billet de Lotto, il gagne!! Franchement, pour aller en Bourgogne en stop, je vous recommande les routiers.Surtout si votre femme ou votre petite amie a une mini jupe. Oui, enfin, je veux dire, et si vous êtes du genre partageur !Le reste du voyage se passe au mieux, moi contre le chauffeur qui a une main sur mes cuisses.Sur la couchette, mon petit ami fait la gueule, sous prétexte que j’ai un peu sucé la bite du chauffeur. Celui-ci le taquine,”C’est un bon coup ta copine!”Depuis il imagine qu’il s’est passé des choses sous la douche!!A 4 h de l’après midi, il nous dépose à Beaune, à la sortie de l’autoroute… Bisous… on pourra se revoir?? Euh… oui… je lui donne l’adresse du vignoble où nous allons.Je m’attends à ce que Nico, mon petit ami, me traite de salope et me laisse tomber. Mais, non! Il a peut être aimé la situation ou alors il compte sur moi pour le stop!!On est vite pris et on arrive pleine campagne devant le domaine du Château Saint Adhémar entouré de ses vignes…séculaires, bien sûr…Au kaçak iddaa milieu des vignes se dresse un beau bâtiment ancien. A à l’arrière il y a des constructions plus modernes. On va se présenter au contremaître. Il prend nos noms, vérifie nos âges.”Les vendanges commencent demain”, nous dit-il. Il appelle deux jeunes gars pour qu’ils nous fassent visiter.Les dortoirs ne sont pas luxueux, mais ça nous convient. Le soir, le repas est sympa. Il y a des jeunes qui viennent de tous les coins de France. Plus de garçons que de filles parce qu’ils nous disent que c’est un boulot dur. Le vin est presque, à volonté et l’ambiance est décontractée.Le lendemain à 7 h, un réveil sonne, on gueule, “Debout c’est l’heure”.Petit déjeuner rapide et on attaque les vendanges.C’est simple : avec un sécateur on coupe la base de la tige et on jette la grappe de raisins dans une hotte. Simple, oui, mais il fait très chaud, on est souvent penché et on doit faire ça pendant 9 h. C’est crevant! Bon, on s’arrête pour boire ou pour discuter un peu… mais le contremaître surveille et nous rappelle à l’ordre. Le repas du midi et du soir permettent de décompresser, mais je ne pense qu’à une chose : dormir.Inutile de dire que la fatigue aidant, je suis sage durant ces vendanges… enfin presque. J’ai eu deux amoureux, un jeune et un vieux. Le premier, c’est le jeune.Depuis le début je vois que je lui plais… Un garçon du Sud, ça s’entend à son accent. Il est beau et énergique… mais, aussi, jeune, très jeune. C’est-à-dire le même âge que moi et j’ai toujours préféré les hommes plus âgés.Ce qui nous rapproche, c’est une guêpe… Bon, j’adore les animaux, même les insectes, mais les guêpes c’est limite. A 6 ans je suis tombée dans un nid de guêpes, de quoi s’en souvenir toute sa vie.C’est le troisième jour que ça se passe. Je coupe mes grappes de raisin, quand soudain je ressens une vive douleur au ventre. En me penchant j’ai coincé une guêpe sur mon ventre et elle m’a piqué.”Saloperie!!”, je gueule “elle m’a piqué!!”. Un garçon accourt, je baisse mon jean très bas. Je n’ai pas de culotte… euh… vu la chaleur!Je lui montre l’endroit sur mon ventre à la limite des poils.Il se met immédiatement à genoux et me suce!Instantanément la douleur disparaît (authentique!). Il fait ça tellement rapidement qu’il aspire tout le venin, qu’il recrache ensuite…”C’est comme ça qu’il faut faire”, me dit-il, “mais il ne faut pas avoir de blessure dans la bouche.”Je lui suis vraiment reconnaissante et lui dis, “Merci de m’avoir… euh… sucée. La douleur a disparu!”, et je l’embrasse… sur la bouche, malgré le venin!Sa bouche, si bas sur mon ventre, puis la douleur qui disparaît si vite, ça m’émeut. Il revient plusieurs fois voir, si je vais bien. On échange des regards chargés de messages… subliminaux, genre, moi : “Tu m’as quand tu veux!”Lui : “Toi, tu vas prendre, ma belle!”Ben oui, un garçon vous suce, ça crée des liens.Le soir, après le repas, malgré les douleurs dans le dos, les bras et la main droite, celle qui tient le sécateur, je lui murmure, “Si tu veux… viens me rejoindre…”Une fois qu’on a éteint, il vient dans mon lit… Il relève mon tee-shirt et se colle à moi. Sa peau est douce contre la mienne, c’était très excitant.”Fais ce que tu veux…”, je lui dis, “mais ne m’en veux pas, si je ne participe pas, je suis épuisée”.”Dors…”, il me murmure à l’oreille. Je suis sur le côté, lui derrière moi et il me fait l’amour tout doucement.Je suis à moitié endormie, mais c’est très bon quand même… Je jouis légèrement comme dans un rêve. Je ne le sens pas repartir.On passé les journées et les nuits suivantes ensemble. On fait l’amour tout doucement et sans bruit pour nos voisins.Le dernier soir on fait l’amour face à face, couchés dans le lit. Nos deux corps pressés, collés de la tête aux pieds. On s’embrasse d’abord longuement, puis, je soulève une jambe et je mets un pied sur ses fesses. De cette façon, il parvient à entrer le début de son sexe dans ma chatte. C’est doux et très excitant… On joui silencieusement bouche contre bouche. On aura passé cinq jours supers, à travailler et à baiser en douce…Et puis, il est parti après m’avoir invitée chez lui, quand les vendanges seront finies…J’ai le blues… Mon jeune amant me manque… Qu’est ce qui se passera si je suis à nouveau attaqué par des guêpes? Qui me sucera?? Et puis, ce travail est épuisant! Il y a des filles de paysans, ici, elles sont habituées aux travaux durs, moi pas! Même les filles d’ici, trouvent ça dur. Je suis copine avec une jolie rousse qui est du village. Elle dit aussi que c’est un boulot pénible. On se planque toutes les deux à l’abri des regards. On se raconte des trucs de filles. Je lui mets de la crème solaire pour protéger sa peau blanche. On ne se doute pas, que les autres ont remarqués qu’on s’éclipsait discrètement. Alors, qu’on rigole, couchées à l’ombre d’une vigne, on entend une grosse voix, “Et alors, qu’est ce que vous foutez là??” C’est le contremaître, Monsieur Jean et il n’est pas commode! Je lui dis, “On se repose, 5 minutes, M’sieur.” “Vous croyez qu’on vous paye pour faire la sieste?” “Non, pardon M’sieur, mais je me suis fait mal aux reins!” Il me regarde sévèrement, “C’est dans le bas des reins que vous aurez bientôt mal!” Il est dingue?? Il continue, “Toi, c’est le premier avertissement.” Il se tourne vers Zoé, “Mais toi, c’est la deuxième fois que je te prends à paresser. Tu sais, ce que je t’ai promis?” Zoé se mets à pleurnicher, “Non, M’sieur, je vous en prie, non.” De quoi a-t-elle si peur?? Ce remue ménage n’a pas échappé aux autres, qui arrivent en rigolant. J’entends “On va punir les faignantes.” Punir?? Ah, oui! Le contremaître prend Zoé par un poignet et il la coince sous son bras gauche, comme si elle ne pesait rien. Il commence à la fesser. Smaackk!! Smaackk!! Smaackk!! Zoé pousse des cris, “aaaaiiie!!!” Une fille qui est venue regarder dit, “On ne sent rien à travers un jean, M’sieur.” “C’est pas faux.”, dit-il. Aussitôt, il remet Zoé sur ses jambes et il tire son jean d’un coup sec, jusqu’aux chevilles. Ensuite, il la reprend sous son bras. Zoé crie, “noooooonnnn!!!” et les spectateurs crient, “Ooouuuuaaaaiiisss!!!!” Moi aussi, je dirais bien “ouais”, c’est… émouvant de voir les fesses blanche de Zoé danser sous les claques. On peut même se rendre compte que c’est une vraie rousse. C’est nettement plus efficace sans jean! Ses cris perçants en sont la preuve, ainsi que ses fesses qui deviennent de plus en plus rouges. Les jeunes qui sont venus voir, tapent des mains en cadence, en rigolant! Elle pousse des cris, supplie… kaçak bahis mais rien n’y fait, la fessée continue! Le contremaître frappe vite et fort. Le derrière de Zoé prend sûrement une cinquantaine de claques! Enfin, quand il la remet sur ses pieds, ses fesses sont écarlates. Elle remonte vite son jean, le visage plein de larmes… Le contremaître lui dit, “Et tu as de la chance que je n’en parle pas à ta mère!” Elle pleurniche, “Merci m’sieur.” Merci??? Elle reprend vite son sécateur et se remet au travail. Le contremaître me montre la paume de sa main en disant, “Tu as vu ce qui t’attend??” Je me remets vite au travail, aussi. Évidemment, Zoé se fait pas mal charrier le reste de la journée. Moi aussi, des garçons font mine de prendre quelqu’un sous leur bras en me disant, “Bientôt ton tour!” J’y repense… aux fesses de Zoé… mais aussi à la façon de faire de Mr Jean. Ça, c’est un homme! Le lendemain, il y a des acheteurs Japonais qui viennent au “château”. Le patron charge Monsieur Jean de leur faire visiter les vignobles et d’organiser une dégustation et une démonstration de la façon dont on foulait le raisin dans le passé Monsieur Jean nous donne des petites robes, parce qu’on doit fouler le raisin, jambes nues. Avant de commencer, le contremaître nous regarde Zoé et moi. Il nous dit, “Vous avez toutes les culottes?” Zoé répond, “Oui, M’sieur.” Et moi, “Non, M’sieur.”. Rires des garçons! Il me regarde, surpris, “Va en chercher une dans tes affaires, vite!”” Je deviens un peu rouge, “J’en ai pas, M’sieur.” Il pousse un gros soupir, “Bon, eh bien tu ne lèveras pas ta jupe trop haut et de préférence, pas de face.” Il ajoute, “De toute façon, dans le temps, les filles de la campagne ne portaient pas de culotte à l’époque.” Ben, voilà…En fait, ça leur plait beaucoup aux Japonais, que je foule le raisin en montrant mes fesses.Les autres filles font un peu la gueule, mais bon rien de plus simple pour une fille un peu dégourdie que de l’enlever. Zoé la jolie me sourit et m’imite.Je jette un coup d’oeil au chef, il lève son pouce vers le haut. Cool!Je lève bien ma jupe… Je sens des gouttes de jus de raisin éclabousser mes fesses et ma chatte.Les Japonais font même des photos. Si ça se trouve je suis une vedette au Japon, ou mes fesses le sont!Mine de rien, c’est fatiguant de fouler le raisin. On commence à lever la jambe, moins haut. Heureusement, le chef dit, “Vous pouvez arrêter les filles et allez vous laver.”Je vais près du chef et je lui dis, “Je suis essoufflée, chef, sentez comme mon cœur bat”. Je prends sa main et la pose sur mon sein droit. “C’est de l’autre côté”, me dit il en caressant mon sein gauche. “Vous voyez, des trucs de filles qui ont envie de se faire bien voir du chef. Il me dit à l’oreille, “Ne te lave pas et va m’attendre à l’écurie.”Aaah? Bon!Les Japonais me font des courbettes, moi aussi.En partant, je remonte un petit coup ma jupe pour qu’il puisse dire Sayonara à la lune.Je les entends glousser!Je vais dans le local, que le chef m’a indiqué. Je ne sais pas ce qu’il veut, mais si c’est me culbuter dans la paille… je ne dirai pas non. C’est le chef, après tout!Mes jambes couvertes de jus de raisins qui sèche.Le chef arrive… avec quelques grappes de raisins.Il me dit,” Ils ont signé un gros contrat, en partie grâce à toi. Le patron est content. Il te donnera une prime.”Là, j’ai une crise de conscience. Ai-je droit à de l’argent, parce que j’ai montré mes fesses?La réponse est : OUI!!Le chef me prend contre lui et m’embrasse. Je sens son sexe dressé juste sous mes seins (il est grand, moi pas…)On se déshabille. Quand je suis nue, il me dit, “Tu es tricolore, ma belle!”C’est vrai, mes jambes, mes bras et mon visage sont bruns, mon corps est blanc et mes jambes sont rouges de raisins.”C’est très joli.” me dit-il…On se caresse… Je prends sa bite, oh la! Elle se cabre dans ma main.Je me mets à genoux devant lui. Son sexe est de belle dimension, noueux comme un pied de vigne… fatalement. Le bout est tout mouillé d’excitation. Je le frotte un peu sur mon visage, puis je le prends en bouche… Ma langue caresse le gland. Ça me plait de plaire au chef, je le prends complètement en bouche. J’ai le nez dans ses poils. Son gland fait connaissance avec ma luette et mes amygdales, il aime… Beaucoup… Trop, même… Ça risque d’être vite fini, si je continue… Lui aussi le sait… Il se retire de ma bouche et me dit, “On va faire l’amour avec des raisins?”. Là il m’a “cueilli”!”Avec des raisins, chef?”Il me montre un mince matelas en disant, “Oui, tu vas voir. Couche-toi là et écarte les jambes.”Il a pris un des raisins d’une grappe qu’il avait apportée et il me l’a enfoncé dans la chatte…Ooooh c’est doux et frais. Ensuite, il a continué un grain après l’autre…Je ferme les yeux. Je suis bientôt pleine de raisin … Tellement pleine que le dernier ressort en faisant un bruit marrant genre “plop!!”. Alors, il a mis ses doigts devant mon vagin pour qu’ils restent en place et il me lèche…bien… C’est à dire qu’il me lèche la chatte et le clito, mais dès qu’il sent que ça me fait trop d’effet, il ralentit. Au bout d’un moment, je mets ma main sur sa tête et je lui dis, “S’il vous plait chef…”Il n’a plus ralenti. Je me suis tortillé sous sa langue. Tous ces raisins dans mon vagin me donnent l’impression d’avoir une grosse bite en moi.Et puis…. je jouis sous la langue du chef… mmmmhhhh. C’est bon, très, très bon….Le chef empêche toujours les raisins de ressortir…Et maintenant???Il me dit, “Tu veux goûter les raisins qui sont en toi?””… euh… non merci chef… C’est tout pour vous…””Ce n’est pas que mon vagin me dégoutte, mais… euh… je préfère les raisins frais!!Lui, pas! Il a mis sa bouche contre mon vagin et il a mangé tous les raisins…C’est spécial…Je lui dis, “Oh je me sans vide…””On va arranger ça. Met toi à 4 pattes.”Moi j’obéis toujours au chef!Il me donné une claque sur les fesses, en disant, “Je connais des Japonais qui aimerait bien être à ma place.”Il entre en moi… facilement. D’abord, parce que j’ai déjà vu le loup et même toute la meute, ensuite, parce je suis on ne peut plus prête à l’accueillir. Plus mouillée… qu’une jeune mariée!Ooooh… C’est de loin meilleur de se faire remplir la chatte par une grosse bite que par une grappe de raisin!Il me prend par les hanches et me baise… comme un chef…Tout en s’activant, il me demande, “Tu mettras des raisins dans ton cul??”Dans mon cul??? Bah, l’excitation et tout ça, je réponds, “Oui, chef, où vous voulez!”J’imagine… la scène ne manquerait pas de piquant…Je sens son sexe se gonfler en moi et son sperme vient par saccades remplacer les raisins!! Moi, je l’accompagne, vers le 7eme ciel…Alors, vous comprenez, pourquoi une bouteille de Château St Adhémar, àa me rappelle plein de souvenirs…

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